Echo de la Grand’Grange
Le Carnet de Famille Mars 2014
Notre carnet de famille c’est aussi faire partager quelques instants
de Bonheur, transmettez à votre Amicale ces moments privilégiés
Noah, petit-fils de Henri Boncompain 39°, le 28 décembre 2011
Mélinda au foyer de Nicolas Berne 69°, le 20 janvier 2014
Emma et Jeanne au foyer de Julien Fayolle 67° nées le 4 février 2014
Billet Spirituel mars 2014
Temps du Carême et temps de purification.
Et bientôt la résurrection de Jésus-Christ, et par voie de conséquence la nôtre. Mais y croyons-nous encore ? Des sondages nous apprennent que la moitié de ceux qui se disent chrétiens ne croient plus à la résurrection des morts et fondent tout sur la vie terrestre… l’éternelle histoire du paradis terrestre.
Le bonheur : un grand mot et seulement un grand mot derrière un beau portail enguirlandé de belles fleurs… des fleurs du mal.
Des lendemains qui chantent… et qui sont suivis d’autres lendemains de pleurs et de grincements de dents.
Jérémie osait crier au peuple de son temps : « Heureux celui qui met son espoir dans le Seigneur ».
Et Jésus nous crie : « Heureux les pauvres, heureux ceux qui pleurent, heureux ceux qui sont haïs par les autres, heureux ceux qui ont faim… ». Il est certain qu’il est difficile à d’autres qu’à des pauvres de pouvoir entendre ce message ; pas étonnant que l’Évangile ait été d’abord entendu par les esclaves, les déshérités et les laissés pour compte. Encore que ceux-là faisaient partie de la
pauvreté du monde sans le vouloir, par force ou par obligation.
Ce fut d’ailleurs peut-être bien leur chance.
Pour nous la seule solution est de découvrir la pauvreté dans un monde de richesses, dans une société… qui est le portail dont j’ai parlé : des guirlandes, du flonflon, du bruit, de la musique… et rien derrière : le vide… pire encore, le néant.
Comment pourrions-nous être pauvres ?
Qu’est-ce que cela veut dire : être pauvre ?
Je ne pense pas, du moins, c’est mon avis personnel, qu’être pauvre, c’est de ne rien posséder, de refuser tout bien-être, de regarder toutes les beautés et toutes les générosités de la nature comme choses à éliminer.
Le livre de la Genèse nous dit : « Dieu créa l’homme et la femme ; il les mit dans le paradis terrestre en leur disant : Tout ça, JE VOUS LE DONNE, pour que vous en profitiez et que vous le fassiez fructifier. »
Le « JE VOUS LE DONNE » : voilà la pauvreté.
Dieu nous a tout donné, rien ne nous appartient et dès que nous faisons quelque chose « nôtre », nous avons perdu la pauvreté… et le message de Jésus-Christ ne peut plus nous atteindre et rien de ce que nous faisons n’a plus aucune valeur.
Quand nous donnons quelque chose, ce n’est pas pour que ce soit détruit, abîmé, démoli.
S’il en est ainsi, nous en souffrons, comme si une partie de nous même était détruite, abîmée, salie, meurtrie : le péché de l’homme vis-à-vis de l’homme.
Le péché du monde, le péché des hommes, notre péché à chacun de nous, c’est de vouloir utiliser ce qui est mis à notre disposition comme étant nôtre, alors que tout nous a été donné, tout appartenant à Celui qui nous a tout donné : le péché de l’homme vis-à-vis de Dieu.
Et finalement, être pauvre, c’est supprimer le péché de nos vies ; c’est-à-dire bien utiliser ce que Dieu nous a donné à améliorer, à perfectionner, à embellir, à faire
fructifier et c’est tout ce qui est en nous, autour de nous, devant nous, derrière nous, c’est tous ceux qui sont avec nous, devant nous et derrière nous.
Être pauvre, c’est découvrir que le grain de sable que nous sommes est capable d’infini et qu’il n’a pas le droit de distraire la moindre parcelle de sa puissance pour son propre compte et son propre plaisir.
Être pauvre, c’est être les mains vides devant Dieu et le reconnaître.
Père G. PUPIER, avril 1977
Les débouchés professionnels à Sainte-Marie-La-Grand-Grange
« NOS QUATRE FILIÈRES PROFESSIONNELLES
OFFRENT DES DÉBOUCHÉS À TOUS LES ÉLÈVES »
Quels sont les atouts d’une scolarité effectuée au LPP La Grand’Grange ?
Vous proposez donc une scolarité particulièrement attrayante ?
Les métiers du bois ont donc le vent en poupe ?
Avez-vous d’autres initiatives pour cette année scolaire ?
Opter pour la voie professionnelle est donc un gage de réussite pour intégrer le monde
de l’entreprise ?
Le coin du poète Octobre 2013
Entre rue Mondragon et rue Pasteur
Cinquante ans ont passé ,
Beaucoup d’élèves vous ont rencontré.
Vous avez vu beaucoup de professeurs,
Qui comme vous travaillaient avec ardeur,
Afin que tous les élèves apprennent
Le métier qui leur convienne.
Vous avez oeuvré pour que tous s’enrichissent d’un bon esprit,
Qui les aiderait dans la vie .
Les murs de la GG aussi, sont imprégnés de votre passage ,
Vous avez effectué de nombreux ouvrages :
En consacrant une grande partie de vos congés ,
A réparer les batiments les plus usés :
Changeant les vitres après la grêle ,
Et repeignant les murs qui pèlent ;
Avant d’aller faire un petit séjour ,
En Oisans, pour voir un lever de soleil annonçant le jour …
Ici, entre rue Mondragon et rue Pasteur ,
Cinquante ans après , il y a toujours un pasteur ,
Qui reçoit jeunes et anciens avec douceur :
Un petit mot, un conseil, un sourire ,
Tout ces réconforts que l’on oublie de dire …
En souhaitant qu’il reste ici encore longtemps ,
Pour vivre toujours de beaux printemps .
Ici, entre rue Mondragon et rue Pasteur …
Amicalement ! Louis CROZET 32ème
en hommage au Père Pupier pour ses 50 ans de présence
à la Grand-Grange 1952/2002
Les premiers pas de la 30éme promotion à la Grand Grange en 1956!
Présence Jésuite à Saint-Etienne
Mais aussi au LEP Ste Marie -la Grand-Grange
En haut : Frère Edouard Guignard, pères Yves Brasseur, Pierre Iratsoky, Pierre Jubert,
Olivier de Framond
En bas : frère Hervé Nick, pères Jean-Marie Carrière, Thang Nguon, Michel Barthe-Dejean, André Gilardi
À l’origine du lycée professionnel Le Marais Sainte-Thérèse, on trouve aussi des Jésuites.
Aujourd’hui, ils sont toujours présents avec le Père Thang Nguon , qui est l’adjoint du
directeur tout en étant le Supérieur de la communauté des Jésuites de Saint-Étienne.
Hervé Nicq, un étudiant en stage dans ce lycée pour deux ans, s’est vu confier la
responsabilité de la formation humaine et de l’aumônerie.
À Saint-Chamond, l’institution Sainte-Marie La Grand’Grange a été fondée par les
Frères Maristes. Depuis 2009, cet établissement est rattaché au réseau Jésuite :
Ignace de Loyola Éducation. Le Père Yves Brasseur, arrivant de Marseille, vient d’y être
nommé pour participer à la pastorale de cet ensemble scolaire.
Les Jésuites sont aussi très impliqués dans l’association forézienne d’écoles de
production (AFEP), qui forme des jeunes de 15 à18 ans (souvent en échec scolaire)
dans les domaines de la mécanique et de la chaudronnerie. Les Pères de Framond
et Barthe-Dejean assurent, avec des bénévoles, l’enseignement de la culture
générale.
Les Jésuites sont aussi très présents à Montreynaud. Le Frère Edouard Guignard a
créé l’Accueil solidarité insertion Montreynaud (ASIM). Celui que l’on surnomme l’Abbé
Pierre de Montreynaud reçoit dans cette structure 60 à 80 personnes par jour,
marginalisés et migrants. Autour d’un repas, l’ASIM les accompagne dans leurs
démarches administratives, dans la recherche d’un emploi, ou dans l’accès aux soins.
«Nous essayons d’être libres et disponibles pour aller où les autres ne vont pas »,
souligne le Père Pierre Jubert, ministre (ndlr:l’intendant) de la Communauté des
Jésuites à Saint-Étienne.
Mais les jésuites sont répartis à travers le monde et travaillent dans des domaines très
différents et en particulier avec les plus pauvres (Service Jésuite des Réfugiés), accueil
d’enfants de bidonvilles pour l’éducation, aussi bien que des universités. Ils sont
facilement envoyés dans d’autres pays, selon les besoins et ne sont pas cantonnés
dans le même travail tout au long de leur vie.
Fiers du Pape François
Samedi 21 septembre l’amicale à Coise
Des Nouvelles des Anciens Octobre 2013
De Paul SEYTRE, 30e Promo : « Merci encore pour “L’Echo”, ce noble fil conducteur qui
perpétue bien le lien avec notre École. Une bienveillante information téléphonique
m’a ainsi permis de rejoindre l’Église Saint-Pierre afin d’assister aux funérailles de notre
cher Père PUPIER. Un moment que je tenais à partager avec tous les Anciens et Amis
de La Grand’Grange. Toute mon amitié également à Jean CALLET, durement éprouvé.
Un bel hommage rendu à son épouse dans ce numéro.
Que de souvenirs et d’émotions rassemblés dans ces pages que je vais conserver
précieusement. »
De Guy FAURE, G.G. 1952-1956 : « J’ai été choqué d’apprendre par “L’Echo” le décès
du Père PUPIER. Puis ce sentiment s’est transformé par de l’émotion et aussi par de la
nostalgie. Ma promotion a connu La Grand’Grange à l’automne 1952. Le
Père PUPIER était le nouveau Directeur, et j’étais un nouvel élève. Que de souvenirs
remontent dans mon esprit. Il m’a guidé pour trouver l’amour de Dieu et de mon prochain.
Je lui dois beaucoup. J’ai beaucoup d’émotions. La Grand’Grange a été ma
maison pendant quatre ans. Amicales salutations. »
De Henri BENIERE, 6e Promo : « Mille excuses pour le retard apporté au versement de
ma cotisation. J’ai eu beaucoup d’ennuis : décès de mon fils Jean-François, 36e. Ma
santé n’est pas florissante. »
Le Carnet de Famille Octobre 2013
Notre carnet de famille c’est aussi faire partager quelques instants
de Bonheur, transmettez à votre Amicale ces moments privilégiés
Agathe, née le 4/9/2013, petite-fille de J.L. LOUAT, 32e.
Jean PACCALET, frère de Henri ancien Directeur du Lycée et de Yves 27e, le 17 juin.
Madame Manou PETIT, belle-soeur de Jacques PETIT, Président de l’Association
Immobilière Sainte-Marie La Grand’Grange, le 29 juillet.
André MERIEUX, frère de Bernard, 34e le 25 juin.
Madame BACHSCHMIDT, grand-mère de Yannick MEYER, 65e,le 23 juillet.
Madame BRUSCOLI , maman de Robert 34e ancien professeur le 24 juillet.
Madame TCHENG, belle-mère de Jean GARNIER, 26e, le 25 août.
Jean-Pierre PEINETTI, 28e Promo, le 30 août.
Elliot PENEL, élève de 5ème à Sainte-Marie, fils de Patrice 59e et frère de Valentin en
1ère Bac Pro MEI ,le 1er octobre.